"Chère Martine,
La situation du pays est grave. C’est par ces mots, que nous ne pouvons que partager, que débute la lettre que tu viens de nous adresser. Mais à ce constat, qui impose effectivement à toutes les forces de gauche des responsabilités particulières, j’en ajoute d’emblée un second : si la situation du pays est grave, celle de la gauche l’est aussi. Et il y a des raisons à l’une et l’autre de ces situations.
La crise que connaissent notre pays, l’Europe, le monde ......