Le
Parisien daté du 2 avril 2008, révèle
la commercialisation d’un répulsif
sonore anti-jeune en France depuis plusieurs
mois.
Le quotidien précise que des bailleurs sociaux
des syndics, mais aussi des municipalités
envisagent de s’en équiper. Après
le spray anti-SDF, le boitier anti-jeune vient allonger
la liste honteuse des répulsifs destinés
à exclure des catégories de la population
de certains lieux.
Cette façon de traiter les jeunes comme des
parasites est non seulement choquante, mais elle
est aussi dangereuse car elle crée les conditions
techniques de politiques locales de ségrégation.
Elles portent atteinte aux libertés,
et visent à remplacer l’action publique
de prévention par un armement technologique
individuel qui revient à faire sa propre
loi. De telles armes de dissuasion
urbaine doivent être interdites dans les plus
brefs délais.
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