Les Tribunes libres des élus communistes

dans le journal municipal "Point d'Appui"

Décembre 2007

Quel développement urbain pour demain ?

Jusqu’au 8 décembre, une enquête publique est ouverte dans l’ensemble de notre région concernant le Schéma directeur régional d’Ile de France (Sdrif).

Ce projet, adopté par le Conseil régional le 15 février 2007, définit la politique d’aménagement de la région pour les trente prochaines années, en matière d’emplois, de transports, de logement. Il a pris pour option de rééquilibrer le développement de la région en luttant contre les inégalités sociales et territoriales tout en relevant les défis de la crise énergétique et climatique.

Depuis son adoption, les élus de droite, relayant l’opposition fondamentale au Sdrif du président de la république et du gouvernement, tentent par tous les moyens de faire annuler le schéma directeur. Ils ne supportent pas des politiques publiques volontaristes qui ne se résignent pas à une ville et une région à plusieurs vitesses. Ainsi, le Sdrif préconise la construction de 60 000 logements par an, dont 30% de logements sociaux.

Or, notre ville aurait tout à gagner à s’y inscrire activement. D’une part pour encourager une construction plus ambitieuse de logements sociaux avec des loyers réellement accessibles à tous. D’autre part pour développer une politique urbaine durable, respectueuse des hommes et de l’environnement et renforçant les services publics.

Le Sdrif permet par exemple d’engager une campagne active au profit du prolongement de la ligne 12 qui est certes acquis, mais à trop longue échéance sans mobilisation des élus et citoyens de la ville.

C’est pourquoi nous vous incitons à participer nombreux à cette enquête publique (1), en y inscrivant les priorités qui vous semblent essentielles pour répondre à l’intérêt de tous les Franciliens, et notamment pour ce qui nous concerne, des Isséens.

(1) en mairie, ou par courrier au Conseil régional d’Ile de France (siège de la commission d’enquête – 35 bd des Invalides 75007 Paris).

Lysiane Alezard et Jean-François Boyé
www.pcf-issy.org


 

Septembre 2007

En avril dernier, la Chambre régionale des comptes (CRC) a rendu un rapport sur la situation financière de la ville d’Issy les Moulineaux. Verdict : de nombreux défauts et défaillances sont constatés. On est loin de la gestion exemplaire dont se targue la municipalité.

Exemple, l’externalisation des ressources humaines, engagée début 2006, a conduit à confier au privé l’ensemble des missions dévolues à ce service public par excellence. La CRC en critique le « coût très élevé ».

Sur les délégations de service public, que la commune a multipliées (piscine, marchés de la ville, crèches, restauration municipale, parkings…), la CRC relève plusieurs insuffisances graves. Ainsi, le non respect des règles de passation concernant les parkings. Plus généralement, elle s’inquiète d’informations financières peu transparentes, pour le moins. Cela vaut notamment pour les
« comptes rendus des délégations ou des rapports soumis au conseil municipal et à la commission consultative des services publics ».

Concernant les sociétés d’économie mixte, le rapport n’est pas plus élogieux puisqu’il constate notamment des « défauts d’information lors du lancement des opérations de ZAC ».

Ce document confirme à quel point les Isséens (habitants, salariés, employés communaux) sont tenus à l’écart de mesures qui les concernent pourtant directement.

C’est toute une conception de la démocratie qu’il faut revoir pour que les citoyens soient partie prenante du bout en bout des processus de décisions locaux.

L. Alezard, JF Boyé

 


Octobre 2006

Projet de téléphérique à Issy- Un cache sexe pour bétonner le Fort

C’est un projet ingénieux mais qui soulève de nombreuses interrogations.

Techniques.
Est-il possible d’implanter un pylône de 55 mètres dans le parc Henri Barbusse ?

Esthétique.
Difficile de penser que les câbles qui survoleraient la ville s’inséreraient parfaitement dans le paysage.

Démocratique.
A l’évidence, de nombreux Isséens notamment ceux de la rue André Chénier n’en veulent pas.

Intérêt Général ou transport public privatif ?
Ce projet servira-t-il les 13 000 habitants des Hauts d’Issy et des Epinettes ou les 2500 futurs heureux acquéreurs d’un appartement de standing du fort ?

Des besoins non couverts.
Le téléphérique ne couvrirait que 8% des besoins de déplacements avec sa cabine unique. Absurde : il faudrait 18 heures
pour faire descendre tous les habitants des Hauts d'Issy !

Coût d’exploitation.
Le Maire annonce que l'intercommunalité paierait les investissements. Mais quel est le véritable montant de ces investissements ? Entre les chiffres annoncés par le Maire (8 à 10 millions d'euros) et ceux du STIF, la fourchette va du simple au double.
De même, qui paierait le déficit d'exploitation de la ligne ? Certainement pas le STIF qui annonce être pour ce projet à condition qu'il ne lui coûte rien. Or, là aussi les informations sont contradictoires. Les estimations vont du simple au double.

Cache sexe.
Au fond, ce projet est un cache sexe pour commercialiser des appartements de luxe dans le Fort et densifier la ville. La municipalité pratique une véritable fuite en avant responsable des embouteillages et de la pollution.
Nous souhaitons que la concertation organisée par la mairie aille jusqu'au bout et prenne en compte toutes les exigences qui
s'exprimeront.

Les élus communistes : Lysiane Alezard et Jean François Boyé

RETOUR


Avril 2006

LES BEBES NE SONT PAS UNE MARCHANDISE !

Après la privatisation des ressources humaines, la municipalité s’attaque à celle des crèches. « L’arche de Noé » et « les Cerfs volants » sont désormais confiées à une entreprise privée. De plus, pour doter une nouvelle structure d’accueil de la petite enfance gérée par le privé, le personnel de 2 crèches municipales est sollicité. Pourquoi cette situation ? Ce marché serait-il si juteux ?

La raison invoquée est le manque de personnel. Dont acte. Très mal rémunérés dans la fonction publique, ces agents n’ont pas une offre de formation à la hauteur. Ils n’ont pas de véritable statut, alors que leur métier implique une responsabilité majeure et une présence de tous les instants. Ils n’ont pas les moyens de se loger décemment à Issy les Moulineaux.

Il s’agit là d’une question de choix politiques. D’une part, l’Etat a opté pour des incitations au lancement de crèches privées. D’autre part, le Conseil général des Hauts-de-Seine s’est désengagé de ce secteur public ; il n’y a plus de crèche départementale dans notre commune. Or, il pourrait jouer un grand rôle dans le développement de structures d’accueil et faire des efforts de formation.

Des milliers de jeunes couples se sont installés dans notre ville, mais les services ne sont pas au rendez-vous. Il manque près de 700 places en crèche. On retrouve d’ailleurs ce manque dans certaines écoles, sans parler des collèges.

C’est bien d’un véritable service public d’accueil de qualité de la petite enfance dont nous avons besoin !

Lysiane ALEZARD et Jean-François BOYE (eluscommunistes@wanadoo.fr)

Vers le haut

RETOUR


Janvier 2006

MENACES SUR LE CNET !

Au coeur de la ville, France Télécom dispose d'un centre de recherche (ex CNET) qui a contribué de façon déterminante aux progrès des télécommunications en France (minitel, ADSL, spatial). Ses équipes d'ingénieurs, parmi les plus brillantes, ont permis à Issy de devenir un pôle reconnu.

Aujourd'hui, le site est menacé. En effet, le CNET doit payer un loyer exorbitant depuis que le terrain a été vendu par France Télécom à un consortium. Il est vrai qu'avec sa privatisation, l'opérateur privé devait dégager du cash pour cause de dettes dues à une politique tournée entièrement vers les actionnaires.

Inquiet, nous avons alerté la municipalité. Lors du dernier Conseil municipal, nous sommes à l'initiative de l'adoption de deux voeux en faveur du maintien du CNET.

Mais aujourd'hui, la volonté de la ville de réaliser sur ce terrain, un nouveau quartier, est préoccupante.

En effet, que vaut la promesse du maintien des laboratoires face à l'appétit des promoteurs ? Et que deviendront les salariés pendant la construction d'un tel projet ? Le centre comporte des équipements qui ne peuvent être déplacés.

Faut-il rappeler que consultés il y a trois ans sur un projet de transfert, ils avaient manifesté leur volonté de rester à Issy. De
nombreux jeunes ingénieurs se sont installés sur la ville car "la proximité de Paris avec des moyens d'accès faciles et rapide était aussi un critère pour travailler au CNET."

Le départ des labos serait lourd de conséquences pour une ville dédiée aux technologies. Les promoteurs ne peuvent dicter leur loi.

Nous proposons que le terrain soit préempté par la ville, le département et la région pour y accueillir les locaux rénovés du CNET.

Lysiane Alezard et Jean-François Boyé, conseillers municipaux communistes

eluscommunistes-issy@wanadoo.fr

Vers le haut

RETOUR


Octobre 2005

Maintien des emplois à Hewlett Packard !

Hewlett Packard (HP), avec un millier de salariés, est l'une des plus grosses entreprises de la ville. Un plan social vient d'être annoncé qui supprimerait 1240 postes dans notre pays, dont plusieurs centaines à Issy les Moulineaux.

Raison invoquée : augmenter le prix des actions et rendre HP plus concurrentielle ! Le choix des actionnaires contre celui des salariés ! Le PDG ne se soucie guère des conséquences humaines et sociales de ces décisions : pour le personnel, mais aussi pour tous les emplois induits. Les 3 milliards de bénéfices de 2004 ont pourtant bien été réalisés grâce aux efforts déjà exigés des salariés.

Cette logique boursière, qui détruit les êtres humains sur son passage n'est pas acceptable. Elle illustre à quel point le système capitaliste recherche une rentabilité à très court terme, au mépris des salariés.

Notre commune a besoin de ces 1000 emplois à HP. Aux côtés des salariés lors de la journée de grève du 16 septembre, nous continuons à agir avec eux pour que les emplois soient maintenus, que les activités menées en France ne soient pas transférées en Chine, Inde ou Roumanie, où la direction invoque un coût de la main d'œuvre très bas.

Nous appelons les Isséens à leur manifester leur soutien.

M. Santini a annoncé qu'il défendrait les emplois de HP. Nous attendons de sa part des actes concrets.

Lysiane Alezard et Jean-François Boyé, élus communistes
eluscommunistes-issy@wanadoo.fr

Vers le haut

RETOUR


Juin 2005

Service public de proximité :
Non à la privatisation !

De l'hôpital à l'école en passant par le transport, le logement, la mairie, la Poste ou EDF-GDF... les services publics de proximité sont des biens collectifs. Ils jouent un rôle majeur dans notre vie quotidienne, dans la vie économique et sociale de notre ville. Le fondement en est l'accès égal pour tous.

Depuis des mois, président de la République et gouvernement mettent en péril ces missions qui participent aux valeurs de solidarité nationale en privatisant tout ce qui est rentable pour ne laisser que le service de base à la charge des usagers et des collectivités.

Nous rejetons cette RMIsation des services publics !

Les consommateurs et les personnels sont les victimes de cette stratégie de dumping social qui vise d'abord à satisfaire les intérêts privés des gros actionnaires.

Les bureaux de poste subissent les conséquences de cette politique : augmentation des délais d'attente aux guichets...

On ne peut une fois de plus attendre des collectivités locales qu'elles prennent le relais.

Or, à Issy, le maire accompagne cette politique et l'amplifie. Entretien, informatique, crèche, ressources humaines, il privatise les
services municipaux les uns après les autres.

Pour notre part, nous plaidons pour leur modernisation.

Il faut s'en donner les moyens en créant un pôle public de financement comprenant la caisse des dépôts, les caisses d'épargne et les services financiers de la poste.

Cela pourrait être un atout pour relever le défi de la modernisation de nos services publics.

Ce chantier doit s'ouvrir avec tous ses acteurs : usagers, salariés, élus...
Car c'est une question d'avenir qui appartient à tous les citoyens.

L. Alezard et JF Boyé
eluscommunistes-issy@wanadoo.fr

Vers le haut

RETOUR


Mars 2005

Non à la privatisation !

Monsieur le maire l´a annoncé : le service des ressources humaines de la ville va être ex-ter-na-li-sé.
En bref, paye, formation, gestion, recrutement - toutes ces missions du service public municipal vont être confiées à une société privée.
Cette décision ne va-t-elle concerner que le service du personnel ? Très directement, certes, mais c´est la conception même du rôle d´une municipalité qui est remise en cause, comme si elle devait être gérée comme une entreprise. Que vont devenir les personnels ? Quelle sera la qualité d´un service proposé par des salariés ne connaissant ni la ville, ni le service public ? L´argent des Isséens va-t-il servir à financer un service rendu par une société privée ?

Il y a lieu d´être inquiets de cette évolution, d´autant que Monsieur le maire voudrait être le premier édile à réussir ce processus et qu´il est déjà question de faire subir le même sort aux crèches et aux parcs et jardins.

Cette logique libérale irrigue l´ensemble des choix de notre commune. Un dysfonctionnement dans un service ? Des difficultés à recruter du personnel qualifié ? On privatise ! Comme si ces problèmes étaient inhérents au service public et qu´il fallait donc remettre en cause tous ses fondements.
Pour mieux répondre aux besoins des habitants, il y a surtout besoin de services publics plus nombreux, de personnels mieux formés et mieux rémunérés.

Pour nous, la privatisation des services publics, c´est NON !

L. Alezard et JF Boyé
eluscommunistes-issy@wanadoo.fr

Vers le haut

RETOUR


Décembre 2004

Le rêve de M. le maire

Une ville sans opposition, tel serait le bonheur absolu pour M. le maire ! L´opposition aurait le tort de s´opposer... N´en déplaise à notre édile, nous, communistes, avons été élus pour agir avec les Isséens aux côtés des plus démunis, des habitants aux revenus modestes, des salariés qui défendent leur emploi. C´est sans doute ce qui pousse le maire à mépriser les élus, au point de nous accuser d´être des " incompétents " ou des " agitateurs " en pleine séance du conseil.

Ainsi, aux côtés des habitants des HLM Verdun, nous nous sommes mobilisés pour obtenir une rénovation plus que nécessaire. Il y a 2 ans, nous étions traités de " menteurs " pour dénoncer les conditions indignes de logement. La réhabilitation est maintenant presque terminée, c´est une bonne chose. Reste à régler la situation des locataires les plus en difficultés qui vont faire face à une hausse de loyer de 23%, d´autant que l´APL n´est pas donnée à tous.

Comme l´a dit René Char, " celui qui naît pour ne rien troubler ne mérite ni égard ni patience ".

Lysiane Alezard, Jean-François Boyé

Pour info, M. le maire aura tout le loisir de relire cette tribune avant de la publier.(1)
eluscommunistes-issy@wanadoo.fr

(1) NDLR : Il faut savoir, en effet, que, bien souvent, les élus de la majorité de droite rédigent leur tribune libre après avoir lu celle remise en mairie par l'opposition, longtemps avant publication, de telle façon a y répondre par avance . Privilège dont ne disposent pas les élus de l'opposition.

Vers le haut

RETOUR


Septembre 2004

Collèges : une regrettable imprévoyance

Les collèges de la ville sont surchargés d'élèves. La faute en incombe à l'imprévoyance de la municipalité et du conseil général qui n'ont pas réalisé les équipements nécessaires. Pourtant, il n'y a pas besoin d'être spécialiste pour se douter que la construction de milliers de logements à Issy (+ 4 000 appartements en 20 ans) allait faire exploser les effectifs
scolaires (+ 30% en 10 ans).
Dommage que les parents d'élèves qui ont tiré la sonnette d'alarme n'aient pas été écoutés. Pour se rattraper, la Mairie communique. Mais l'efficacité n'est toujours pas au rendez-vous. Les travaux de rénovation du collège Victor Hugo ont pris plusieurs mois de retard. Ceux du collège La Paix sont repoussés à plus tard.
Et que dire du terrain choisi pour construire le quatrième collège ? Il est coincé entre bureaux et logements et donne directement sur les voies du RER C. On ne peut imaginer pire emplacement. Le bon sens doit prévaloir pour stopper ce projet insensé. Un autre terrain doit être trouvé. Il faut, pour cela, sacrifier, pour une fois, les promoteurs immobiliers.
De même, à quand le cinquième collège ? Un projet auquel la Mairie a dû se rallier. Les chiffres sont têtus ! En attendant, des préfabriqués seraient prévus pour les collégiens.
Nous restons à la disposition de la communauté éducative pour agir afin qu'elle soit enfin entendue.

Lysiane Alezard, Jean-François Boyé
eluscommunistes-issy@wanadoo.fr

Vers le haut

RETOUR


Juin 2003

ENSEMBLE, PRESERVONS NOS RETRAITES !

Le gouvernement Raffarin essaie de faire passer en force un projet sur les retraites pour obliger les salariés du public et du privé à travailler plus longtemps pour des pensions plus basses. Ce serait un recul de civilisation !
Ce projet est inacceptable dans sa philosophie, comme l'ont dit plus de 2 millions de personnes le 13 mai dans 110 villes de France. Parmi elles, de nombreux Isséens du public, du privé, mais aussi des écoles et crèches de la ville.
Certes, il faut revoir le financement des retraites, mais pas en le faisant porter sur les salariés. Une politique active de l'emploi permettra d'assurer l'avenir des pensions. Or, le gouvernement ne fait qu'encourager les plans de licenciements ! On peut aussi augmenter la part patronale dans les cotisations sociales et taxer les revenus financiers.
L'action doit se poursuivre pour que le gouvernement revoit sa copie. Lors du vote à l'Assemblée, M. Santini, député de notre circonscription, choisira-t-il d'engager la réforme de progrès que les salariés appellent de leurs vœux ?
Les communistes agiront à vos côtés pour préserver la retraite à 60 ans à taux plein.

Lysiane Alezard, Jean-François Boyé
eluscommunistes-issy@wanadoo.fr

Vers le haut

RETOUR


Novembre 2002

UN LOGEMENT DECENT POUR TOUS !

L'augmentation très forte de la population de notre commune s'est accompagnée de la construction de milliers de logements supplémentaires. Dans de nombreux quartiers, des problèmes d'équipements nouveaux nécessaires sont posés. Une évolution vers un trop fort bétonnage se dessine, qui va souvent de pair avec un manque d'animations et d'espaces verts.
Le parc des logements sociaux a, lui aussi évolué, mais avec de grandes disparités. Ainsi, à quelques centaines de mètres seulement du tout nouveau quartier haussmanien, la résidence Verdun (83-91 avenue de Verdun) n'a pas été réhabilitée depuis 1983. De sérieux problèmes d'étanchéité des façades s'y posent, de même que des dégradations permanentes qui y rendent la vie difficile. Pourtant, des moyens existent pour répondre rapidement à ces insuffisances.
Il est temps que se développe dans notre ville un débat public sur la question du logement. Faute de quoi, trop d'Isséens auront le sentiment d'être abandonnés des pouvoirs publics.
Comme élus communistes, nous sommes disponibles pour agir en faveur d'une politique permettant à chacun de disposer d'un logement décent avec un loyer accessible.

Lysiane Alezard, Jean-François Boyé
eluscommunistes-issy@wanadoo.fr

Vers le haut

RETOUR