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transports Panorama sur
le 92 Des liens utiles
Espaces verts :
inégalité pour les populations des Hauts-de-Seine. Le
taux départemental moyen d'espaces verts par habitant
est de 36 m2.Selon les zones du Nord au Sud du département,
le taux d'espaces verts par habitant va de 3,4 m2 à 174
m2 |
Traitement des déchets Le
groupe communiste propose qu'une aide financière plus
importante du département soit apportée aux communes
qui supportent 80 % du coût du tri sélectif. |
Risques industriels Les
Hauts-de-Seine comptent 11 sites classés SEVESO |
Nuisances sonores En
trois ans, le nombre d'avions survolant notamment le Centre et
le Nord des Hauts-de-Seine, est passé de 77 à 256 |
SécuritéVidéo
surveillance Le groupe communiste a réaffirmé,
lors de la séance du 24/10/03, son opposition à
subventionner la mise en place par des communes de nombreuses
caméras sur la voie publique faisant l'objet de contestation
et n'ayant pas fait la preuve de leur efficacité. |
Un nouveau parc
en bord de Seine, de 39 hectares, verra le jour à Nanterre
; financé
par le Conseil général avec la participation de
la Région et de la commune qui avait réservé
ces terrains dans son POS dans cet objectif depuis 20 ans. |
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La défense
de l'environnement, la lutte contre la pollution, pouvoir se
déplacer, un aménagement équilibré,
conditionnent la qualité de vie de chacun aujourd'hui,
mais aussi celle des générations futures. C'est un enjeu de société qui renvoie
à des choix politiques à tous les niveaux, en matière
d'habitat, de transport, de cohésion sociale et de démocratie... Il faut traduire en actes forts la nécessité
affirmée aux sommets de Rio et Kyoto, d'un développement
durable répondant aux besoins présents sans compromettre
l'avenir de la Planète.
Les élus
communistes partagent cette vision d'une société
au service du développement humain qui est convergente
avec la leur.
Quand on évoque
les maux dont souffre la Planète, comment taire les responsabilités
du capitalisme mondialisé ! Elles sont immenses avec :
la guerre économique, la marchandisation de toutes les
activités humaines, la montée du chômage
et des inégalités. Comment relever
les défis écologiques si on ne s'attaque pas à
tous les niveaux, à la logique ultra libérale et
en rompant avec le productivisme et "la course au fric".
C'est porteurs
de l'ensemble de cette démarche que les conseillers généraux
communistes abordent les enjeux écologiques des Hauts-de-Seine,
"petite partie" de notre Planète. Quel
regard porter sur l'identité environnementale des Hauts-de-Seine
?
La façon
dont s'est façonné le département depuis
sa création en 1964, n'a pas été neutre
et a marqué profondément son identité. Les bouleversements survenus dans les domaines de
l'habitat, de l'aménagement urbain, du tissu économique,
ont été marqués par une pression excessive
de la spéculation. Avec comme conséquence :
la dualisation des territoires, un bétonnage et une densification
exagérés, un aménagement déséquilibré
avec l'éloignement des lieux du travail de ceux de résidence,
des transports collectifs insuffisants, une concertation avec
la population négligée.
Aujourd'hui,
la qualité de vie des Hauts-de-Seine est très contrastée,
avec une dimension inégalitaire très forte où
fractures sociale et écologique se recoupent.
La majorité
départementale UMP/UDF et les maires de droite du 92 ont
des responsabilités dans cette situation.
Par leurs votes
à l'Assemblée Départementale, les élus
communistes soutiennent tout ce qui participe à l'amélioration
du cadre de vie, comme la reconquête des berges de
Seine, la coulée verte dans le Sud, la mise en place d'un
agenda 21, le PDU. Mais le groupe communiste
attend du Conseil général une ambition plus forte
répondant aux défis environnementaux pour : - réduire les inégalités et
engager une véritable action de réparation pour
le cadre de vie des zones
défavorisées - résister à
la spéculation et au bétonnage -
amplifier en actes les objectifs de l'agenda 21
Les principaux
objectifs et propositions du groupe communiste pour un environnement
agréable et une meilleure qualité de vie :
pour les déplacements - Pour
les personnes : confirmer la priorité aux transports
collectifs (tramways et bus) en réalisant
dans les délais ce qui a été décidé
au XII° Contrat de Plan, avec l'ambition de pousser plus
loin la démarche. C'est la bonne réponse pour améliorer
les conditions de vie des altoséquanais
dans leurs déplacements de travail, de loisirs ; pour
la requalification urbaine et le
respect de l'environnement. - Pour les marchandises
: mieux utiliser la Seine - Pour les infrastructures
routières : l'aménagement de RD7 (Meudon/Issy)
doit être réalisé en 2 x
1 voie, respectant l'environnement et en concertation avec la
population.
Pour l'habitat Encourager
les projets urbains des communes protégeant et respectant
l'identité d'un quartier, d'une
cité, maintenant l'équilibre entre habitat collectif
et individuel, favorisant la mixité et résistant
à la spéculation et au bétonnage. Soutenir
par une aide financière du département significative,
l'embellissement des cités et des espaces
publics de proximité.
Pour l'assainissement et l'eau L'eau
est un produit naturel et collectif. Elle ne peut être
considérée comme une simple marchandise
livrée au privé. Dans les Hauts-de-Seine, comme
au plan national, le groupe communiste
exige que l'assainissement et la gestion de l'eau, concédés
à un opérateur privé dans
le 92 réalisant de copieux bénéfices, reviennent
au service public.
Contre le bruit La
reconnaissance du droit à vivre au calme doit conduire
à la réalisation de protections phoniques
le long de la A86 à Colombes, Villeneuve la Garenne et
Clamart et à l'extension de la pose
d'enrobés spéciaux sur les chaussées. |