L’annulation
de la réforme Douste-Blazy qui
instaure une médecine à deux vitesses et ouvre
sur une privatisation de la Sécu.
Une grande priorité aux politiques de prévention
avec une attention particulière au milieu scolaire
et aux lieux de travail.
Une première étape pour aller vers
le remboursement à
100% par la Sécu en commençant
par les enfants et les
personnes dépendantes.
L’arrêt de la casse de l’hôpital
public, en lui donnant les
moyens nécessaires pour répondre aux besoins
de santé des
populations.
La formation des personnels médicaux et paramédicaux
nécessaires : 9 300 médecins et 40 000 infirmières
par an.
La réorganisation de l’ensemble du système
de soins, notamment en développant les réseaux
villes-hôpitaux et endonnant des droits nouveaux aux
salariés, aux usagers et aux élus.
La démocratisation de l’assurance
maladie, en confiant sa gestion aux assurés sociaux,
en lui donnant des moyens financiers par l’augmentation
de la cotisation patronale, en la faisant bénéficier
d’une cotisation additionnelle sur les revenus financiers
des entreprises et en instaurant une modulation des cotisations
en fonction des politiques d’emploi et salariale des
entreprises.
GAGNER LA BATAILLE DES RETRAITES
La loi Fillon et les décrets Balladur-Veil seront abrogés,
le
droit à la retraite à 60 ans à taux plein,
avec 37,5 années
de cotisations sera rétabli.
Le montant de la pension à 75% du salaire
brut moyen des dix meilleures années
pour les salariés du privé sera garanti.
Une nouvelle réforme sera mise en chantier, permettant
la
retraite à 55 ans pour les travaux pénibles,
l’amélioration
concrète et spécifique du droit à la
retraite pour les femmes,
la validation des périodes de formation au-delà
de l’âge de la
scolarité obligatoire.