|
|
|
Editorial
|
Dès son accession à la tête de l'exécutif régional en 1998, la majorité de gauche s'est donnée pour objectif prioritaire de développer l'offre et l'attractivité des transports en commun. Le contrat de plan 2000-2006 illustre cette volonté politique. Il inverse les priorités, avec 2/3 des investissements pour les transports collectifs, contre 1/3 pour les transports routiers. Il s'articule autour de quatre grands projets de transports collectifs : une rocade de tramway en première couronne, des tangentielles ferrées en seconde couronne, un maillage plus dense du réseau et un développement du réseau bus Mobilien. Plus de trois milliards d'euros sont consacrés au développement des infrastructures et à l'amélioration de la qualité de service des transports collectifs. La politique régionale, c'est également la mise en uvre d'aménagements routiers et ferroviaires, le développement des " sites propres ", la rénovation des gares, le renouvellement de flottes de bus et des rames RER de la RATP, l'information des voyageurs, la création de parcs de stationnement régionaux, le développement du transport de marchandises, l'amélioration de la sécurité, la suppression des passages à niveaux, la résorption des " points noirs ", bruit, etc. Toujours en matière
de solidarité et de justice sociale, le Conseil régional
s'est lancé dans une politique inédite de tarification.
Proposer un développement
durable en Ile-de -France, c'est proposer des choix pour répondre
aux besoins du présent en s'inscrivant dans une cohérence
permettant aux générations futures de répondre
aux leurs. Les élus
communistes se positionnent pour un projet clair et ambitieux
: Concrètement,
nous proposons
: Tout ceci ne dédouanant pas l'Etat de mettre en uvre de manière complète les réalisations prévues au contrat de plan. |